OM ‍: Fausse joie pour Payet, Anigo lui tend la main

OM : Fausse joie pour Payet, Anigo lui tend la main

Icon Sport

Cantonné à un rôle de remplaçant cette saison, Dimitri Payet aurait pu profiter du départ de l’entraîneur Igor Tudor pour se relancer à l’Olympique de Marseille. Malheureusement pour le milieu offensif, la démission du Croate ne change rien à sa situation. Le club phocéen espère toujours éjecter le Réunionnais convoité par un certain José Anigo.

Qui dit changement d’entraîneur dit souvent redistribution des cartes. Certains joueurs de l’Olympique de Marseille sont bien placés pour le savoir. Titulaires indiscutables sous les ordres de Jorge Sampaoli la saison dernière, Mattéo Guendouzi et surtout Dimitri Payet ont perdu leur statut avec Igor Tudor. Autant dire que les deux milieux de terrain ne regretteront pas la démission du Croate. Mais selon L’Equipe, cette décision ne change absolument rien à leur situation.

D’un côté, l’ancien joueur d’Arsenal reste considéré comme une belle valeur marchande à vendre cet été. Et de l’autre, le Réunionnais n’entre toujours pas dans les plans de Pablo Longoria. On sait que le président n’a jamais apprécié son statut de « Marseillais à vie ». Pour rappel, Dimitri Payet avait signé avec la précédente direction un contrat jusqu’en 2024, assorti d’une reconversion en tant que dirigeant à l’Olympique de Marseille. Le patron espagnol va tout de même tenter de creuser les pistes d’actualité, à savoir l’Olympiakos et des destinations exotiques.

Payet vers un prêt ?

Pour le moment, ces possibilités n’intéressent pas le meneur de jeu. Mais nos confrères du Phocéen envisagent un scénario qui arrangerait toutes les parties concernées. En effet, José Anigo, actuel coach et directeur sportif de l’Olympiakos, pourrait convaincre son ancien joueur de le rejoindre en prêt pour sa dernière année de contrat. Ainsi, le Marseillais reviendrait en 2024 pour profiter de sa reconversion dans l’organigramme olympien. Encore faudrait-il que Dimitri Payet accepte de faire ses valises, ne serait-ce que pour s’éloigner le temps d’une saison.