L’Equipe contre beIN, l'OM provoque un clash entre journalistes

L’Equipe contre beIN, l'OM provoque un clash entre journalistes

Après la défaite de l’Olympique de Marseille contre Tottenham (1-2) mardi en Ligue des Champions, Grégory Schneider et Thomas Ferro Villechaize ont animé un drôle de clash sur Twitter. Les deux journalistes sont en désaccord sur la gestion des Marseillais, éliminés de toutes compétitions européennes.

En raison d’un manque de communication de la part du banc, l’Olympique de Marseille a tout perdu. La défaite à la dernière seconde contre Tottenham, à cause d’un manque de prudence défensive, a provoqué l’élimination en Ligue des Champions ainsi que la perte du barrage de Ligue Europa. Le club phocéen n’est donc pas épargné par les critiques pour sa gestion du temps additionnel. Un traitement que Grégory Schneider ne comprend pas. « Dingue qu'on reproche à l'OM de s'être découvert en fin de match », a réagi le journaliste sur Twitter.

« Et l'ambition ? La Ligue Europa est une sous-coupe, qui repêche des losers - tu es qualifié pour la LdC, tu joues pour la LdC, a-t-il ajouté. Ils sont tombés en braves. » Son avis ne fait pas l’unanimité, notamment auprès de Thomas Ferro Villechaize. « Cet argument est complètement idiot, lui a répondu l’animateur de beIN Sports. Les médailles de bronze n’ont alors aucune valeur à vos yeux. Puisque par définition elle récompensent un(e) vainqueur(e) battu(e) en 1/2 finale. Vous êtes un oligarque du résultat. » Autant dire que le terme utilisé n’a pas plu.

Le « clown de beIN » n’a pas aimé

Le débat sur l’Olympique de Marseille s’est alors transformé en règlement de comptes. « Non mais qu'est-ce que c'est que ce clown de beIN qui se permet de qualifier un confrère d'idiot ? », a lâché Grégory Schneider, à qui Thomas Ferro Villechaize a demandé de se détendre, estimant qu’il avait seulement qualifié l’argument d’idiot. « Si vous relisez vos articles comme les tweets, ça doit être sympa à la rédaction. Quant au fait de me traiter de clown ça élève le débat », a taclé le journaliste de beIN Sports, ensuite traité de « p’tite tête ».

« P’tite tête" !?! Non mais sérieusement !? Votre rhétorique agressive est entendue depuis des années. Pas étonnant que vous suscitiez tant d’inimitiés ! Un petit roquet qui mord les mollets. Que d’acrimonie et de condescendance. Une bonne psychanalyse s’impose », a conclu Thomas Ferro Villechaize, prêt à sortir les dossiers sur le journaliste de Libération, notamment connu pour ses embrouilles en tant que chroniqueur sur la chaîne L’Equipe.