Martel n’a pas une armée mexicaine à la tête de Lens

La signature de Jacques Santini à Lens a beau être effective depuis plusieurs semaines, les questions sont toujours nombreuses sur le duo formé par l’ancien sélectionneur national et Jean-Guy Wallemme, auquel s’ajoute Daniel Leclercq, jamais loin lorsqu’il s’agit de prendre des décisions. Mais pour le président du RCL, tout est sous contrôle et ce choix a été réfléchi.

« Je ne suis pas en train d’empiler les gens dans le club. Daniel Leclercq a un rôle technique notamment sur les jeunes, et ceux qui vont sortir on va en parler dans les chaumières. Dominique Cuperly avait émis le souhait de suivre Eric Gerets avec la sélection du Maroc. Jean-Guy Wallemme m’a dit qu’il voulait quelqu’un d’expérience, comme Laurent Blanc fonctionnait avec Jean-Louis Gasset à Bordeaux. Le premier nom qu’il m’a sorti c’est celui de Jacques Santini. Jacques m’a dit qu’il ne voulait plus être coach principal mais apporter son expérience », a expliqué Gervais Martel sur RMC au lendemain du nul décroché à Valenciennes.