Gillot envoie Sochaux aux Prud’hommes pour 1.000 euros

Francis Gillot ne lâche rien. Parti en bons termes avec le FC Sochaux pour rejoindre Bordeaux cet été, le technicien a tout de même fait appel aux Prud’hommes pour régler un cas très précis sur le plan financier, révèle l’Est Républicain. Un sou étant un sou, même dans les hautes sphères du football, Gillot réclame 1.000 euros de prime de match à son club pour une victoire acquise la saison passée face à Monaco et qui n’a jamais été payée. Tout le reste de l’effectif et du staff a touché cette somme au mois de juillet, y compris ceux qui ont quitté le club, mais pas l’entraineur bordelais selon son avocat. Une bataille juridique qui ressemble à du marchandage, surtout que Gillot réclamait au début une journée de salaire (soit 2 450 euros) en raison d’une différence d’un jour entre sa rupture de contrat (27 juin) et la réception du courrier le lendemain, avant que ce ne soit réglé à l’amiable entre les deux parties. Le technicien bordelais approche les 100.000 euros bruts mensuels de salaire avec les Girondins.