L'Arabie Saoudite a une mauvaise nouvelle pour Newcastle

L'Arabie Saoudite a une mauvaise nouvelle pour Newcastle

Depuis l'annonce de la reprise de Newcastle par l'Arabie Saoudite, les supporters des Magpies rêvaient d'un mercato de fou. Mais le chèque ne permettra pas des folies.

L’euphorie engendrée autour de Saint James’Park après l’annonce que le club était repris par des intérêts saoudiens est légèrement retombée, même si les fans du club du Nord de l’Angleterre pensent que les années de vache maigre sont enfin terminées et que leur club peut désormais envisager de s’inviter à la table des grands. Amanda Staveley, qui dirige désormais les Magpies, a bien évidemment promis que les investisseurs saoudiens allaient mettre le paquet, mais à priori ces derniers sont également décidés à tenir compte de ce que d’autres repreneurs ont fait avant eux. Et c’est pour cela que le prochain mercato hivernal sera relativement calme, les nouveaux propriétaires étant déterminés à remettre les structures de Newcastle en état de marche avant de se lancer dans de lourds investissements sur le marché des transferts. Exit donc les Kylian Mbappé, Harry Kane ou Paul Pogba, les Magpies seront moins ambitieux au moins pour l’instant.

200 millions d'euros au mercato, Newcastle peut oublier

Et si certains évoquaient une somme colossale de 200 millions d’euros pour réussir à recruter en janvier 2022, la réalité serait radicalement différente. Le Telegraph affirme de son côté que celui qui sera l’entraîneur de Newcastle lors du mercato d’hiver, à priori ce ne sera plus Steve Bruce, aura « seulement » 60 millions d’euros à sa disposition. Bien évidemment, une telle somme peut paraître énorme à l’échelle française, mais s’agissant d’un club qui veut désormais viser des titres chaque année en Premier League et en Europe, ce montant peut sembler bien modeste. Il est surtout très éloigné de ce dont les rêvaient les fans du club anglais. Mais richissime ou pas, l’Arabie Saoudite ne veut pas dilapider son argent, alors même que sa venue en Angleterre est contestée par la quasi-totalité des autres dirigeants.