En ramenant un point de son déplacement au Havre, l'AS Saint-Etienne a évité une défaite qui aurait eu des conséquences désastreuses dans la course au maintien. L'entraîneur des Verts est lui d'une confiance étonnante.
Avec deux déplacements consécutifs au Havre, puis le week-end prochain à Montpellier, l'ASSE savait qu'il lui fallait éviter deux défaites, mais surtout prendre des points au moment où le club stéphanois pointe à la 17e place, synonyme de relégation. Pourtant dominateurs pendant la première période, les Verts se sont contentés d'un point dimanche en Normandie, les Hacmen ayant égalisé sur un penalty totalement stupide dans le temps additionnel de la première période. Il y avait forcément de la déception et de l'inquiétude dans le camp stéphanois après ce 1-1 chez un rival qui aurait été torpillé en cas de défaite. Cependant, Eirik Horneland semble d'une totale décontraction au moment d'évoquer cette course pour le maintien qui inquiète de plus en plus le Peuple Vert.
L'ASSE a une confiance absolue
90e+4 : ⏹️ C’est terminé. Les Verts doivent se contenter du point du nul. Prochain rendez-vous : sur la pelouse de Montpellier, dimanche prochain.
— AS Saint-Étienne (@ASSEofficiel) March 9, 2025
🔵 1-1 💚 #HACASSE pic.twitter.com/enizJNsjG7
Alors que se profile un nouveau match de la peur contre Montpellier (dimanche à 17h15 sur DAZN), le technicien norvégien arrivé cet hiver afin de remplacer Olivier Dall'Oglio a montré que la relégation n'était pas un sujet terrifiant pour lui. « Je ne suis pas inquiet pour le maintien. Il y a encore des équipes devant nous à notre portée et Montpellier reste derrière nous. Ce qui va faire la différence, c’est cette capacité à gérer le stress. J’ai toujours confiance en cette équipe », a préenu Eirik Horneland, conscient tout de même que d'ici à la fin de la saison, le calendrier des Verts sera rude avec notamment des matchs contre le PSG, l'OL, Monaco pour ne citer que ces équipes. En tout cas, ce dont l'entraîneur de l'AS Saint-Etienne peut être certain, c'est que ses joueurs auront jusqu'au bout le soutien des supporters, lesquels avaient transformé dimanche le stade du Havre en Geoffroy-Guichard normand.