Capitaine du Paris Saint-Germain, et patron de la défense du club de la capitale depuis 10 ans, Marquinhos est bien parti pour prolonger au PSG.
Arrivé au PSG en juillet 2013 en provenance de l’AS Rome pour 31 millions d’euros, alors qu’il n’était pas réellement reconnu, Marquinhos est devenu un joueur qui compte dans la capitale. Installé au coeur de la défense parisienne, le joueur brésilien formé au Corinthians en est même devenu le capitaine, sa rage de vaincre ayant fini par convaincre les dirigeants français qu’il méritait le brassard. Et cela même si ces dernières saisons, Marquinhos a parfois semblé moins solide et décisif dans ses interventions. Il n’empêche, Nasser Al-Khelaifi est sous le charme du défenseur de 28 ans, et le président qatari du Paris Saint-Germain a bien l’intention de le conserver le plus longtemps et même jusqu’à la fin de sa carrière de footballeur à en croire le quotidien L’Equipe ce lundi. Alors que Marquinhos sera en fin de contrat en 2024, le PSG va boucler sa prolongation rapidement.
Marquinhos jusqu'en 2024, le PSG en veut plus
Classico remporté… ICI CEST PARIS 🔴🔵 Bonne nuit et une très bonne semaine à tous les Parisiens 😁 pic.twitter.com/2vill2jjQx
— Marcos Aoás Corrêa (@marquinhos_m5) October 17, 2022
Loïc Tanzi et José Barroso affirment que Marquinhos devait signer un nouveau contrat jusqu’en 2027 avec le Paris Saint-Germain, le défenseur brésilien n’ayant fait aucun obstacle à des négociations. Et même si les têtes ont changé à la direction sportive, le défenseur et le club n’ont pas varié dans leur désir de parvenir à un accord désormais imminent. Tandis que Nasser Al-Khelaifi rêve de voir Marquinhos finir au PSG, les discussions ont tardé à se concrétiser, seule la partie liée au salaire de l’international brésilien a fait durer les négociations, mais finalement n’a pas empêché que l’accord se finalise, sachant qu’actuellement il gagne 11 millions d’euros pas saison et ne semble pas s’être montré trop gourmand. Cela tombe bien, car le Paris Saint-Germain doit désormais composer avec un fair-play financier nettement moins souple et qui n'autorise plus vraiment les folies financières de ces dernières années.