L’avenir de Presnel Kimpembe a fait l’objet de quelques rumeurs lors de ce mercato hivernal mais le défenseur de 29 ans est finalement resté au PSG… faute d’offres satisfaisantes.
Sous contrat avec le Paris Saint-Germain jusqu’en juin 2026, Presnel Kimpembe a fait son retour dans le groupe parisien après sa grave blessure l’ayant éloigné des terrains pendant près d’un an et demi. L’international français n’a toutefois pas encore été lancé par Luis Enrique cette saison, preuve que la prudence reste de mise concernant l’état physique du champion du monde 2018. Lors de ce mercato d’hiver, plusieurs rumeurs ont justement fleuri quant à l’avenir de Presnel Kimpembe avec un potentiel départ du PSG évoqué dans la presse. Des intérêts un peu partout en Europe ont été murmurés, et l’hypothèse d’un départ a fait son chemin dans les bureaux du Campus.
Kimpembe très peu convoité en Europe
Pour Presnel #Kimpembe, il n'a pas réellement eu d'offre. Je peux vous assurez que le FC Séville n'était pas intéressé par le joueur au contraire d'un autre club Espagnol comme L'Atletico Madrid, qui a juste pris des renseignements. Dans les offres reçus, il y'a eu un Club… pic.twitter.com/dLweDQgBZR
— PSGINSIDE-ACTUS (@PSGInside_Actu) February 3, 2025
Pourtant, aucun club réellement intéressant n’a toqué à la porte pour s’attacher les services du « Titi » de 29 ans selon le compte insider PSG Inside Actu, qui révèle par exemple que le FC Séville ne s’est jamais intéressé à Presnel Kimpembe, malgré quelques rumeurs de sources espagnoles. L’Atlético de Madrid a simplement pris quelques renseignements, tout comme un club anglais de milieu de tableau ainsi qu’une formation au Qatar. Chelsea, Manchester United ou encore l’AC Milan ont bien un intérêt pour Presnel Kimpembe mais n’ont fait aucune approche concrète cet hiver dans l’optique d’une signature. Les cadors européens « préfèrent attendre de voir si le joueur va retrouver son niveau et jouer avec le PSG pour cette fin de saison » indique le compte X. Autant dire que pour Presnel Kimpembe, il n’y avait pas vraiment d’autre choix que de rester dans la capitale française lors de ce mois de janvier.