PSG ‍: Aurier et Navas taquinent Ayew, l’OM prend cher

PSG : Aurier et Navas taquinent Ayew, l’OM prend cher

Coéquipiers à Nottingham Forest, Serge Aurier et Keylor Navas ont savouré la victoire du Paris Saint-Germain à Marseille (0-3) le 26 février dernier. Les deux anciens Parisiens ne se sont pas gênés pour chambrer le club phocéen et leur partenaire André Ayew.

Euphoriques après la victoire contre le Paris Saint-Germain (2-1) en Coupe de France, les supporters de l’Olympique de Marseille ont déchanté lors de la confrontation suivante. Une vingtaine de jours plus tard, cette fois en championnat, ce sont les Parisiens qui s’étaient imposés au Vélodrome avec la manière. Une véritable humiliation pour les fans olympiens, y compris pour André Ayew.

Le milieu offensif de Nottingham Forest a évidemment gardé sa passion pour son ancien club. Du coup, ses coéquipiers Serge Aurier et Keylor Navas, passés par le Paris Saint-Germain à des moments différents, ne se sont pas gênés pour le chambrer. Dans une vidéo publiée par leur partenaire Moussa Niakhaté, le Ghanéen en soins sent venir les moqueries. « Imbécile, quand on vous a tapés là », a lâché l’ancien Marseillais à Serge Aurier, pas du tout calmé.

« Non mais là, 3-0 sans bavure, s’est moqué l’Ivoirien. Si on avait continué à jouer, on aurait pu en mettre 7 ! Et même 13 buts ! La dernière fois, il m'a pris par le cou direct quand je lui ai dit bonjour, là il n'a même pas répondu. Quand Kyky (Mbappé) est là, ce n’est pas pareil. Ça change tout. » Et pour ne rien arranger, le gardien Keylor Navas était là juste à côté pour en rajouter une couche.

Navas chambre en français

« Ce n'est pas pareil que la dernière fois hein », a souri le Costaricien en français. On devine alors qu’André Ayew avait lui aussi chambré ses coéquipiers après le succès marseillais. Forcément, la lourde défaite à domicile l’a rendu moins bavard, même si le frère de Jordan Ayew a rappelé que l’Olympique de Marseille avait des blessés ainsi qu’un absent important. « Nous, il nous manque Payet », a osé André Ayew, à court d’arguments.