L’OM rêvait de Malinovskyi, Longoria ramène Harit

L’OM rêvait de Malinovskyi, Longoria ramène Harit

Icon Sport

Déjà prêté à l’Olympique de Marseille la saison dernière, Amine Harit va faire son retour au club phocéen. Le président Pablo Longoria n’a pas pu finaliser l’arrivée de l’Ukrainien Ruslan Malinovskyi et s’est rabattu sur l’ancien Nantais, toujours aussi déterminé à revenir.

Sauf rebondissement, la douzième et peut-être dernière recrue de l’Olympique de Marseille ne sera pas Ruslan Malinovskyi. Le président Pablo Longoria a longtemps négocié avec l’Atalanta Bergame avant d’abandonner ce dossier dans la dernière ligne droite du mercato. Un échange avec Cengiz Ünder était pourtant envisagé au début des discussions. Mais l’ailier turc n’était pas emballé à l’idée de rejoindre la Dea, où l’entraîneur Gian Piero Gasperini n’est pas non plus un grand fan du Marseillais.

Malinovskyi trop cher pour l'OM

L’Atalanta Bergame a donc réclamé 25 millions d’euros pour le transfert de l’Ukrainien, évidemment hors de portée pour l’Olympique de Marseille. La fin d’une piste alléchante pour le club phocéen et ses supporters qui pourront néanmoins se consoler avec un retour intéressant. En effet, Amine Harit se prépare à revenir à la Commanderie. Selon le journaliste Johnny Séverin, le milieu offensif de Schalke 04, déjà prêté au vice-champion de France la saison dernière, va faire l’objet d’un nouveau prêt, cette fois avec une option d’achat quasi obligatoire dont le montant n’a pas encore filtré.

L’ancien joueur du FC Nantes serait attendu pour signer son contrat dans les prochaines heures, lui qui n’a jamais perdu l’espoir de retrouver l’Olympique de Marseille cet été. Même si Pablo Longoria a gardé le contact pendant tout l’été, Amine Harit n’avait aucune garantie. Ce qui ne l’a pas empêché de repousser des clubs comme Leicester City. Son premier choix étant finalement revenu à la charge ces dernières heures, le voilà récompensé pour sa patience et sa prise de risque. Il ne lui restera plus qu’à convaincre le nouvel entraîneur Igor Tudor, dont le prédécesseur Jorge Sampaoli avait mis des mois avant de lui accorder sa confiance.