Anelka et la Chine, ça sent déjà le sapin

Anelka et la Chine, ça sent déjà le sapin

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Arrivé depuis quelques mois en Chine, Nicolas Anelka est en train de découvrir les joies du football dans ce pays. Propulsé entraîneur-joueur du Shanghai Shenuah après le départ de Jean Tigana, qui a coaché la formation pendant seulement quelques semaines, l’ancien joueur de Chelsea commence à sérieusement s’agacer de la situation plutôt bancale du club, malgré son salaire hebdomadaire de 234.000 euros. Et dans la presse chinoise, Anelka a clairement menacé ses dirigeants de faire ses valises s'ils ne le laissaient pas faire sereinement son travail. « Il n'y a toujours personne pour me soutenir et s’ils continuent de faire des petites manigances derrière mon dos, alors je déciderais rapidement d'abandonner ou pas. Leur attitude décidera de ce qui se passera dans les prochaines semaines », a prévenu Nicolas Anelka, dont le caractère n’a rien perdu de sa rigidité même en Chine.