Montpellier s'offre un petit coup de parano pour se relancer

Montpellier s'offre un petit coup de parano pour se relancer

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Le nul concédé la semaine passée contre Evian TG et les incidents de fin de match ont provoqué un petit coup de chaud du côté de Montpellier. Plutôt habitué à chambrer ses rivaux dans la course au titre, René Girard s’est retrouvé dans la position de celui qui doit défendre ses positions après les propos de Younès Belhanda. De quoi agacer l’entraîneur héraultais avant un week-end qui pourrait voir le PSG revenir, même provisoirement à hauteur de son équipe au classement de Ligue 1. Et évidemment, sa première cible était toute trouvée, la presse.

« Il y a eu ce qu’il y a eu. J’aime les claques de temps en temps. C’est bien de savoir sur qui on peut compter quand on voit les mensonges, tout ce qui peut être dit. Quand je lis que Younès Belhanda a quitté la réunion avec tout le monde, je dis que vous êtes des menteurs. C’est de la fausse information. Il était avec nous au début, il est sorti à la fin. Si on vous dit des choses et que vous écrivez quelque chose d’autre, ce n’est plus la peine que je vienne en conférence de presse. Si vous voulez faire du Paris-Match et du Voici, faites-le ! C’est un petit détail. On ne va pas se fâcher pour autant. Sinon tout va bien. Il y a deux grosses cavaleries derrière nous. Tout se passe bien chez eux, ils s’embrassent tous ! On a un temps de retard donc c’est la guerre… », a lancé René Girard, histoire d’appuyer ses propos avec un peu d’ironie.