Escalettes: « ‍Ce n’est pas une affaire d’état ‍»

Le président de la Fédération Française de Football a estimé samedi que la tournure prise par l’affaire Anelka était un peu excessive, même s’il était évidemment conscient de l’attaquant des Bleus avait été trop loin. « Il y a dans les vestiaires des choses qui se passent, des déceptions, des clashs il y en aura, ce n'est pas exceptionnel, mais parce que c'est l'équipe de France, c'est une affaire d'état. Quand je vois le traitement qui en a été fait. C'est un événement regrettable, inadmissible, mais pas exceptionnel. Et en faire la première page. On touche à l’intimité des vestiaires ça fait beaucoup plus mal », a expliqué Jean-Pierre Escalettes, qui a fermement repoussé l’idée de démissionner.