L'OM traverse une passe difficile sur le plan du jeu et des blessés. Mais cela n'empêche pas le club provençal de jouer la première place au PSG.
A la veille du match entre
l’OM et Brest, Roberto De Zerbi s’est exprimé dans les médias sur la passe difficile de son club. Voilà plusieurs matchs consécutifs où Marseille a beaucoup de mal à produire du jeu et à se mettre au niveau exigé par ses dirigeants. La formation provençale a peut-être touché le fond ce mercredi contre l’Atalanta Bergame, où malgré la polémique sur le but vainqueur, le football développé par l’OM était très décevant.
Les critiques sont justifiées pour De Zerbi
Des critiques que Roberto De Zerbi avait nié en bloc mercredi soir après la rencontre. 48 heures plus tard, l’entraineur italien reconnait les défauts de son équipe et avoue qu’il n’est pas toujours satisfait par le niveau de jeu affiché. « Les critiques sur la qualité du jeu sont justifiées sur les trois derniers matchs, je le dis sans honte et je prends ma part de responsabilité. Depuis que je suis ici, on a toujours été la première ou la deuxième attaque. Vous vous énervez quand on va vers l'arrière, moi aussi je m'énerve quand on recule. Mais parfois pour aller mieux vers l'avant, c'est aussi juste d'envoyer le ballon vers l'arrière une fois. On a plus tiré au but que l'Atalanta, on est plus souvent entré dans la surface mais eux ont marqué. Ça me déçoit », a avoué l’ancien entraineur de Brighton, qui en voulait surtout à l’arbitrage après la dernière défaite contre Bergame.
Désormais, Roberto De Zerbi veut redonner du positif avec la réception de Brest ce samedi, et la possibilité d’aller chercher la première place en cas de concours de circonstances positif. « On ne peut pas vraiment travailler le match de Brest. Il ne faut pas oublier que si l'on gagne demain, on sera premiers. Il faut qu'on puise dans cette motivation » a demandé l’entraineur de l’OM, persuadé que, au courage avant la trêve internationale, son équipe peut parvenir à mettre la pression sur un PSG également très diminué.