PSG ‍: Rabiot assoiffé d'argent ‍? Cet ancien met les choses au clair

PSG : Rabiot assoiffé d'argent ? Cet ancien met les choses au clair

Photo Icon Sport

La rupture semble définitive en ce qui concerne l’avenir d’Adrien Rabiot. Antero Henrique vient de prendre la parole pour expliquer à tout le monde que le joueur n’avait aucune intention de prolonger son contrat, et espérait partir libre en fin de saison. Un dossier rendu complexe par le milieu de terrain, qui a refusé les nombreuses offres du Paris Saint-Germain pour se retrouver dans cette situation. Si Nasser Al-Khelaïfi et les dirigeants sont parfois pointés du doigt, Vincent Guérin estime de son côté que Rabiot avait toutes les cartes en mains pour rester, mais qu’il n’a jamais voulu. Et n’allez pas dire au consultant qu’il s’agit d’une question d’argent, car le PSG a proposé des sommes que les autres clubs auront du mal à atteindre.

« En termes de conditions, le PSG a dû mettre le paquet. Ensuite, il faut une volonté réelle du joueur de s’engager et de continuer. Et là, on ne la sent pas. Un départ serait une perte et un échec, oui. Mais un échec relatif car cela implique aussi sa volonté. Rabiot est quand même un titi parisien. Ce ne sont pas les quelques sifflets ponctuels au Parc qui vont faire échouer les négociations. C’est un joueur de Paris, qui a franchi les étapes ici, qui a du potentiel mais qui n’est pas encore arrivé à maturité, qui est un peu cyclique, qui manque de constance à la fois dans son comportement sur le terrain et dans ses prises de parole extérieures. Ce n’est pas toujours très limpide et très cohérent. On a du mal à comprendre la stratégie. À ce niveau-là, ce n’est plus une histoire d’argent. Enfin, si c’en est une, c’est qu’on n’a rien compris. Les autres clubs vont être dans les mêmes eaux et, pour lui, ce n’est pas un dernier contrat. Il faut construire sa carrière, il est devant un choix important », a livré l’ancien joueur du PSG à France Football. Désormais annoncé du côté de la Juventus ou du FC Barcelone, Adrien Rabiot était visiblement déterminé à quitter Paris depuis longtemps. Coûte que coûte.