Naming du stade de l’OL, Aulas donne un indice cocorico

Naming du stade de l’OL, Aulas donne un indice cocorico

Photo OLWEB

Le Grand Stade de l’Olympique Lyonnais est désormais dans sa dernière ligne droite, puisqu’il devrait être éclairé et fini le 3 décembre, pour la fête des Lumières à Lyon. Un mois plus tard, début janvier, la formation d’Hubert Fournier recevra Troyes pour la première rencontre dans cette enceinte. Un écrin qui n’a pas encore de nom, alors que l’OL mise sur le « naming » pour récupérer 8 à 10 ME par an. Un projet qui possède un peu de retard, et qui pourrait même se conclure après l’Euro 2016. Mais ce n’est pas faute de candidats, puisque Jean-Michel Aulas a confié sur RTL que plusieurs sociétés souhaitaient donner leur nom au stade lyonnais, et qu’il y avait des chances pour que cela penche en faveur d’une compagnie française. 

« On a actuellement cinq négociations avec des groupes étrangers qui sont des groupes internationaux et puis aussi heureusement, français. Déjà deux négociations au moins sur les cinq actuellement. C'est vrai que quand j'en avais discuté avec un certain nombre de représentants de l'Etat français, ils aspiraient à ce qu'un groupe français, sur un projet français, innovant, puisse être le namer. Moi je préférerais c'est sûr. Maintenant c'est vrai que dans le choix définitif il faudra tenir compte des offres des uns et des autres, mais on est bien parti pour avoir un namer français », a avancé le président de l’OL, qui sait que le naming est encore une opération neuve en France, qui jusqu’à présent a du mal à passer, comme Bordeaux peut en témoigner, et rapporte jusqu'à présent assez peu par rapport à son développement dans d’autres pays (Allemagne, Angleterre, Etats-Unis).