Monaco ‍: L'accord financier secret entre le Prince Albert et Rybolovlev dévoilé ‍!

Monaco : L'accord financier secret entre le Prince Albert et Rybolovlev dévoilé !

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Il y a eu du mouvement du côté de l'AS Monaco depuis le début de la saison, et le dernier en date a évidemment été le limogeage de Vadim Vasilyev, remplacé vendredi par Oleg Petrov au poste de directeur général du club de la Principauté. Une façon comme une autre pour Dmitri Rybolovlev de calmer les rumeurs sur son possible départ de Monaco, le milliardaire russe ayant quelques soucis avec la justice. Mais, ce samedi, Le Parisien dévoile l'accord financier secret qui a été réclamé par le Prince Albert lorsque l'homme d'affaire russe a pris les commandes de l'AS Monaco. 

Un deal qui ne permet pas à Dmitri Rybolovlev d'avoir totalement les mains libres sur le plan budgétaire. « Le milliardaire russe est en effet tenu par un accord confidentiel signé en décembre 2011 avec l’association sportive du club, actionnaire minoritaire de l’ASM, en lien avec le palais princier. Selon les termes de ce pacte, Rybolovlev ne peut retirer l’argent injecté dans le club ces dernières années que selon un échéancier, et des montants bien précis. Sept années, jour pour jour, doivent en effet s’écouler entre l’apport et le retrait, les sommes devant être rigoureusement identiques. Concrètement, depuis décembre 2018, le patron monégasque n’a la possibilité de « récupérer » que la trentaine de millions d’euros apportés en décembre 2011. Pour le reste, il devra patienter et guetter les anniversaires des 7 ans de chacun de ses apports successifs (335 ME au total depuis 2011, dont plus de 100 ME en 2013) s’il souhaite bénéficier de remboursements », précise le quotidien, à qui l'information a été confirmée officiellement par l'AS Monaco, le club de la Principauté précisant même que pour l'instant Dmitri Rybolovlev n'avait pas retiré le moindre centime de ses investissements faits en 2011. Autrement dit, le milliardaire russe ne quitte pas tout de suite Monaco, d'autant plus que s'il veut le faire il devra prévenir le Prince Albert, lequel devra ensuite valider le choix du repreneur.