Puygrenier et le cyrillique

Débarqué en Russie il y a bientôt deux mois, Sébastien Puygrenier ne maîtrise pas encore parfaitement la langue de Tolstoï. Le défenseur du Zenith Saint-Pétersbourg raconte une anecdote savoureuse dans sa chronique hebdomadaire au "Monde", à l’occasion du dernier match des champions de Russie, face à Grozny. "La bonne surprise, c'est la présence de deux milieux offensifs camerounais pour Grozny, Guy Essame et Jean Bouli. On échange quelques mots à la mi-temps, je ne les connaissais pas. Si j'avais essayé de décrypter leur nom en cyrillique sur leur maillot en cours de match, je risquais de prendre un but", a expliqué l’ancien nancéien.