Ramos ou l’art du contre-pied

 Très critiqué depuis son arrivée à Tottenham, menacé de licenciement après le mauvais début de saison des Spurs, Juande Ramos a expliqué qu’il ne ressentait pas vraiment la pression. « En Espagne, la pression est plus importante. En Angleterre, vous ne devez affronter les médias qu’une fois par semaine. Cela fait 20 ans que j’entraîne donc je connais ma situation actuelle, pas besoin de me la rappeler », a bien souligné l’entraîneur espagnol, qui a parié qu’il serait « le meilleur entraîneur du monde dans trois semaines » si Tottenham venait à remporter plusieurs matchs de suite.