Dréossi répond à Antonetti

Bien conscient du malaise légitime qui touchait son entraineur à propos d’une ligne d’attaque complètement dépeuplée, le manager général du club breton a reconnu que la quête d’un joker offensif était toujours de mise.

« Oui, il y a une crispation en ce qui concerne notre attaque. On n’a pas découvert hier qu’il nous manquait un attaquant mais cela ne va pas nous faire regretter notre choix de faire confiance à un groupe restreint. Il pourrait y avoir urgence à recruter un attaquant, mais ce n’est pas possible pour l’instant. L’évidence aujourd’hui, c’est de dire qu’être premier, ce n’est pas la place de Rennes. Mais cette première place doit apporter du plaisir et pas de la pression supplémentaire », a tenté de tempérer Pierre Dréossi, qui ne pensait jamais avoir autant de problème en étant leader du championnat de France.