Ce joueur accusé par Praud d’être le point faible du PSG

Ce joueur accusé par Praud d’être le point faible du PSG

Photo Icon Sport

Kevin Trapp va devoir s’y faire, il a changé de dimension en rejoignant le PSG en provenance de Francfort. La moindre de ses performances est épiée, surtout que l’Allemand peine à faire l’unanimité. Son potentiel et son talent sont indéniables, mais le gardien parisien sera jugé sur ses performances dans les grands matchs. Et à l’heure actuelle, après le but encaissé à Marseille sur un tir loin d’être imparable de Cabella, les questions continuent à fuser. Pascal Praud estime qu’à une semaine du match face à Chelsea, le gardien du PSG n’a pas le niveau d’une équipe qui vise le dernier carré de la Ligue des Champions. 

« Je n’ai rien contre Kevin Trapp que je trouve plutôt joli garçon, plutôt sympathique, écrit le journaliste sur son blog. En revanche, le gardien du PSG ne m’a pas convaincu dimanche soir et comme ce n’est pas la première fois, je me demande si Trapp n’est pas le maillon faible du PSG. (…) Ce n’est pas rassurant à une semaine de recevoir Chelsea. Je ne dirai pas que Trapp est responsable à 100% du but qu’il encaisse de Rémy Cabella. Je dis qu’on attend du gardien de l’équipe championne de France qu’il arrête ce qu’un autre gardien ne stopperait pas, qu’il soit le meilleur dans sa catégorie en Ligue 1. De la même façon, quand Maxwell sauve sur la ligne une tête de Batshuayi, Trapp ne bouge pas. Avec son 1,89 m, il doit faire valdinguer tout ça. Le PSG vise une place dans le dernier carré de la C1. Il est légitime que son goal figure parmi les cinq meilleurs spécialistes au monde. Aujourd’hui, Manuel Neuer, David De Gea, Thibault Courtois, Petr Cech, Gianluigi Buffon ou Iker Casillas sont devant lui. Je n’oublie pas non plus Hugo Lloris. Puissè-je me tromper. Et Trapp éteindre le feu des critiques. Encore une semaine de patience », a livré le consultant sur son blog sur Yahoo, pour qui la double confrontation face à Chelsea sera un premier juge de paix pour Kevin Trapp.