Marseille a pris son temps

Selon Fabrice Abriel, la victoire face à Copenhague en Europa League (3-1) a été celle de la patience et du métier. Les Marseillais ont en effet dû gérer leur avantage, un exercice pas toujours simple. «C’est toujours compliqué lorsqu’on a deux buts d’avance de gérer ce genre de matches. Dans l’équipe, tout le monde n’a pas le même rythme, il fallait se jauger dans le premier quart d’heure pour voir où on en était. Il fallait laisser venir et puis essayer de les contrer sans s’énerver, en défendant bien. On a pu accélérer et marquer au bon moment, ce qui nous a libérés. Il fallait gérer sans se relâcher», a analysé l’ancien Merlu.