Les clauses libératoires, ce n’est pas le style de Lille

Les clauses libératoires, ce n’est pas le style de Lille

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Interrogé sur l’avenir de plusieurs de ses joueurs, très suivis à l’étranger, Michel Seydoux a décidé de ne pas botter en touche. Le président lillois a bien voulu évoquer le fait que des joueurs comme Eden Hazard, Mathieu Debuchy ou Aurélien Chedjou pourraient à un moment changer d’air. Mais les joueurs concernés étant sous contrat, cela ne se fera pas dans n’importe quelle condition et à n’importe quel prix. Et à ce niveau-là, le président des Dogues a bien fait comprendre qu’il avait la main sur les montants nécessaires pour libérer ses meilleurs joueurs, et qu’il ne suffisait pas de regarder l’étiquette d’un joueur pour en connaitre un prix fixé par avance. 


« C'est très bon signe que les joueurs du LOSC soient courtisés. C'est un signe que nous progressons. Et plus l'attractivité du club sera forte, plus les courtisans seront nombreux. S’il y a une clause dans le contrat de Debuchy ? Ce n'est pas la conception du monde que je me fais. La clause, c'est extrêmement dangereux. C'est comme si vous prenez un rendez-vous qui vous embête dans six mois... Je n'aime pas les rendez-vous obligatoires. Les clauses sont des rendez-vous obligatoires », a comparé dans L’Equipe Michel Seydoux, désireux de vendre ses joueurs, s’ils venaient à partir, au plus offrant et au meilleur prix.