L’ASSE explique son mercato de pauvre

L’ASSE explique son mercato de pauvre

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En dehors de l’énorme coupe réalisé par le PSG avec David Luiz, et des quelques dépenses loin d’être faramineuses effectuées par Marseille, Rennes ou Monaco, le mercato du championnat de France a été particulièrement calme. Très peu d’investissements, encore moins d’arrivées marquantes et de nombreux départs de stars. Saint-Etienne n’a pas échappé à la règle, et le club forézien continue de tenter de recruter sans faire de folies. De toute façon, il ne peut pas se le permettre, a expliqué Bernard Caïazzo sur BeInSports, en revenant sur deux dossiers chauds qui ont échappé aux Verts : Benoit Trémoulinas et Benjamin Stambouli. 

« On a essayé de garder Benoît Trémoulinas, mais on ne pouvait pas lui donner 300 000 euros par mois à Saint-Etienne, ce n’est pas possible ! Trémoulinas va sur ses 29 ans, ce n’est pas le genre de garçon qui va dire « moi je vais m’asseoir sur la moitié de cette somme. » C’est normal qu’un garçon de cet âge raisonne sur quatre ans comme ça, c’est son dernier contrat. Il a  très bien fait car il a signé à Séville. Là-bas il va gagner 150 000 euros nets, ce qui est l’équivalent de 300 000 euros bruts en France. En Espagne ils ont l’avantage d’avoir des sociétés tierces. Pareil pour Stambouli, on ne peut pas, Montpellier en réclamait 5 millions », a révélé le patron de l’ASSE, qui est tout de même l’un des deux clubs français à avoir recruté un joueur venant de Premier League, avec le PSG (David Luiz).