Troussier et l’Algérie ‍? Pourquoi pas

Philippe Troussier a tracé le portrait-robot du successeur idéal du sélectionneur algérien après le Mondial 2010 et cela n’est pas loin de lui ressembler. Mais l’ancien coach de l’OM a des exigences qu’il ne masque pas.

« Je dois reconnaître que le football algérien a besoin d’un entraîneur étranger et d’un staff technique de qualité pour piloter l’élite et améliorer son niveau à travers la progression des jeunes joueurs, l’élévation du niveau des clubs et la quête du vrai professionnalisme dans le but d’avoir une élite représentative (...) Me concernant, la fédération algérienne connaît bien ma situation. J’ai des engagements professionnels au Japon qui exigent que je sois présent dans ce pays 100 jours par an. Donc, je ne suis pas demandeur de travail, mais je ne vous cache pas que je suis à la recherche d’un challenge sportif qui me mettrait de nouveau proche des vestiaires. Maintenant si je peux apporter ma contribution à la réalisation de la politique actuelle, je le ferai », avoue Philippe Troussier dans le Buteur.