Riolo se prend un scud par l'agent de Blanc

Riolo se prend un scud par l'agent de Blanc

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Laurent Blanc, qui traine cette fameuse image de « septième choix » du Paris SG au moment de son recrutement, n’a jamais réussi à faire totalement taire les critiques malgré les résultats plus que corrects obtenus depuis deux ans. Les titres s’accumulent, mais le club de la capitale ne parvient pas à franchir le cap des quarts de finale en Ligue des Champions. S’il possède la confiance totale de son président, Laurent Blanc est souvent raillé par Daniel Riolo, qui estime que le coach parisien laisse ses adjoints faire le travail dans les séances, et laisse les joueurs évoluer comme bon leur semble pendant les rencontres, avec des changements connus d'avance et un jeu stéréotypé. C’en est trop pour Jean-Pierre Bernès, qui est monté au créneau à ce sujet dans So Foot. 

Blanc a gagné partout


« On a dit de Blanc qu’il n’était pas un entraîneur de terrain, que c’était son adjoint qui faisait tout ? Le serpent de mer: il n’est capable de rien, il n’entraîne pas, il ne sait pas gérer les ego, il ne sait rien faire... La preuve, il gagne partout où il passe. Quand on ne sait rien faire, on ne peut pas gagner. Les Bleus, c’était un champ de ruines. Il a tout fait. Et là, c’est la saison de Blanc, son titre, on ne parle que de lui. Quand il est arrivé, il n’avait pas sa place, on le questionnait mais là il est dans la plénitude de son poste. Est-ce qu’il aurait pu accepter un Leonardo au-dessus de lui? Oui, car il est très respectueux de la hiérarchie. Lui, il est sur le terrain avec son staff et ses joueurs. Il est là pour les matchs, c’est tout ce qui l’intéresse », a expliqué l’agent de Laurent Blanc, persuadé que l’entente aurait aussi été cordiale avec Leonardo, qui a quitté le Paris SG au moment où le champion du monde 1998 est arrivé.