Pascal Praud est encore en extase devant PSG-OM

Pascal Praud est encore en extase devant PSG-OM

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Pascal Praud s’est éclaté dimanche soir devant la rencontre entre le Paris Saint-Germain et l’Olympique de Marseille, et le consultant de RTL et I-Télé n’a pas l’intention de voir les critiques entendues ce lundi lui gâcher son plaisir. Dans une chronique pour Le Point, Pascal Praud a du mal à redescendre du petit nuage où il était après ce clasico au Parc des Princes.

« Je lis ce lundi les commentaires qui suivent le PSG-OM du dimanche et je suis surpris que certains amateurs de foot aient goûté du bout des lèvres ce clasico qui m’a enchanté. Je leur conseille de faire un tour le samedi soir en L1. Je ne sais pas si PSG-OM est un grand cru, mais le raid de Lucas en première mi-temps, cette échappée sur 74 mètres, ces dix touches de balle et six adversaires éliminés resteront dans ma mémoire et suffisent à mon bonheur (…) De la même façon, le but d’Edinson Cavani a fait lever le Parc des Princes. Le ballon ne touche pas le sol entre Van der Wiel, Verratti et Lucas. Il atterrit sur la tête d’El Matador, qui envoie Mandanda aux fraises. J’entends le chœur des beaux esprits expertiser que la rencontre est moyenne, que l’OM n’est pas à la hauteur, qu’Ibrahimovic a joué au ralenti, etc. Les boudeurs de plaisir sévissent dans tous les domaines, éternels pisse-froid qui ne sont jamais contents. Ils dormiraient avec Scarlett Johannson, la trouvant peut-être trop petite ou avec des ongles trop longs, que sais-je (…) Quand on aime les livres, les films et le football, on lit des romans, on va au cinéma et on regarde des matches à la télévision. Évidemment, sur la masse, on est plus souvent déçu que transporté. Mais quand on tombe sur un bouquin formidable, quand on voit un chef-d’oeuvre ou quand le PSG fait le cirque pendant quatre-vingt-dix minutes, alors on applaudit des deux mains, on appelle les amis et on dit : « T’as vu, c’était formidable, non ? » Et à ceux qui ne sont pas d’accord, on ne répond pas. On ne les appellera plus. Ils sont perdus », écrit Pascal Praud, qui a apprécié le spectacle offert et a décidé d’en assurer la promotion.