L’arrivée des nouveaux investisseurs qataris dans la capitale a littéralement bouleversé le paysage économique, mais aussi sportif, du football français en quelques mois. A l’heure où Lyon et Marseille se sont mis à se serrer la ceinture, le PSG a commencé à acheter à tout-va. Une nouvelle donne qui a créé une brèche dans laquelle de nombreux clubs se sont engouffrés, expliquant que l’arrivée d’investisseurs étrangers était toujours possible si elle permettait d’augmenter le budget et le pouvoir d’achat. Comme beaucoup d’autres, Lyon prospecte en ce sens, même si Jean-Michel Aulas évoque toujours le terme partenariat plutôt que rachat, lui qui n’est pas vendeur de l’OL.
« Oui, nous regardons du côté de tous les pays qui ont des partenaires potentiels avec de gros moyens, et pas seulement aux Emirats Arabes Unis où nous avons déjà des contacts. En Amérique, en Asie également. On fait comme toute société qui voudrait se développer à l’international ferait. Nous essayons de trouver des partenaires capables de nous aider financièrement, et c’est un des grands projets de ce club », a résumé, pour Ligue1.com, le président lyonnais, dont le club possède des partenariats uniquement sportifs aux Emirats et en Chine pour le moment.
