Jean-Michel Aulas, président de l'OL après la défaite contre Angers, a confirmé que pour l'instant le limogeage d'Hubert Fournier n'était pas à l'ordre du jour alors que deux matches pour le moins compliquées se présentent pour l'Olympique Lyonnais.
« Nier la crise, ce serait ne pas être réaliste. Nous avons à trouver la moins mauvaise solution dans une situation difficile. Nous allons mercredi à Valence et dimanche à Paris. Ce n'est pas exact de dire que j'ai fragilisé mon entraîneur. Je pense que si les joueurs avaient pu gagner, ils l'auraient fait. J'ai écouté les propos de certains d'entre eux qui ont confirmé que ce n'était pas un problème d'entraîneur. J'imagine que s'il avait fallu le faire plus tôt, pensez-bien que je l'aurais fait. Nous ne sommes pas non plus au fond du trou. Nous allons entrer dans un nouveau stade d'ici quelques temps. Il faut faire en sorte, d'ici la trêve hivernale de retrouver de la fraîcheur, de la vivacité et de gagner des matches.Nous devons conforter tout d'abord les joueurs, retrouver nos blessés et transformer cette spirale négative en spirale positive. Il y a un manque de confiance et de réussite avec treize tirs sur les montants. L'arrivée dans le nouveau stade peut nous le permettre en entrant dans une nouvelle dimension », a expliqué Jean-Michel Aulas visiblement décidé à ne pas aller trop vite en besogne
