Nancy ‍: Cétout dément avoir frappé sa femme et s'explique ‍!

Nancy : Cétout dément avoir frappé sa femme et s'explique !

Photo Icon Sport

Placé en garde à vue par les policiers de Nancy jeudi soir suite aux accusions de son épouse qui affirme qu'il l'a frappée, Julien Cétout ne sera pas du déplacement que le club lorrain fait ce samedi à Paris pour y défier le PSG. Mais, dans les colonnes de l'Est Républicain, le joueur de l'AS Nancy-Lorraine donne sa version des faits et il dément totalement avoir porté un coup à son épouse, donnant quelques précisions sur les circonstances de cette sale histoire.

« Pour bien comprendre la situation, il faut savoir qu’il y a une procédure de divorce en cours conflictuelle. L’argent n’est pas le plus important pour moi mais je lui ai quand même demandé des explications par rapport à certaines dépenses énormes. Il était 20 h 30 environ. Le ton est monté. Je me suis approché d’elle et elle m’a griffé le visage. Je l’ai agrippée par le bras et je l’ai juste repoussée sur une chaise. Rien de plus. Je suis ensuite parti en voiture pour que ça ne prenne pas plus de proportions devant nos trois enfants (…) Jamais je ne l’ai frappée. Ça ne pourrait pas me venir à l’esprit de taper la mère de mes trois enfants. Avoir une dispute et repousser quelqu’un, ce n’est pas du tout la même chose que porter un coup. J’insiste là-dessus. Je suis un gars tranquille qui aime bien rigoler (…) J’ai des défauts mais je ne veux pas passer pour une personne que je ne suis pas. Je m’excuse auprès de l’ASNL si cette histoire lui cause du tort mais il s’agit juste d’un problème privé qui a pris une ampleur totalement démesurée. Je serai lundi à l’entraînement. Je parlerai au coach, je répondrai aussi à mes coéquipiers s’ils me posent des questions. Je veux reprendre ma vie de footballeur normalement. Je suis attaché à l’ASNL, j’ai bien l’intention de vivre encore de belles choses avec Nancy », confie, dans le quotidien régional, Julien Cétout, lequel relativise ce fait-divers. C'est toutefois les instances judiciaires qui auront le dernier mot dans ce dossier.