Amoros et le syndrome du Vélodrome

Comme de nombreux anciens joueurs de l’Olympique de Marseille, Manuel Amoros constate avec dépit que son équipe préférée n’arrive plus à s’imposer au Vélodrome. Il pense savoir pourquoi. « À mon époque, les visiteurs avaient peur de prendre une casquette. À la sortie du tunnel, on sentait leur inquiétude En gagnant beaucoup de matchs à domicile, on avait créé une atmosphère totalement différente. Sur le terrain, on mettait beaucoup de pression dès les premiers contacts. L’objectif de l’équipe adverse était surtout de ne pas prendre un but rapidement », constate, dans le Parisien, l’ancien latéral droit de l’OM. Une situation qui n'est plus du tout la même désormais, ce qui coûte probablement très cher à la formation phocéenne.