Benzema et Valbuena ont mis le bordel en EDF accuse Larqué

Benzema et Valbuena ont mis le bordel en EDF accuse Larqué

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Peu convaincu par la sortie médiatique de Karim Benzema, Jean-Michel Larqué s’inquiète surtout pour les conséquences de l’affaire de la sextape sur l’équipe de France.

Visiblement, la défense de Karim Benzema sur les antennes de TF1 n’a pas fait l’unanimité. Notamment du côté de Jean-Michel Larqué qui, au mieux, considère l’attaquant du Real Madrid coupable d’avoir sali l’image de l’équipe de France. Au même titre que Mathieu Valbuena, pourtant victime dans l’affaire de la sextape.

« Je ne crois ni Valbuena, ni Benzema. Je crois les décisions de la justice française. Il y a des plans de communication, c’en est un. On n’accuse personne, on constate que Karim Benzema, qui est un justiciable comme les autres, a été mis en examen. Pour être mis en examen, il faut que la juge retienne des indices graves et concordants. Sur cette affaire, je m’arrête à ces décisions. Benzema se victimise, c’est peut-être toujours de la communication. Ce qui m’intéresse, c’est quand il dit "j’espère que ça va bien se terminer et qu’on va se retrouver en équipe de France pour gagner pour l’Euro". Je peux annoncer aujourd’hui que ça va se terminer, mais pas forcément bien et pas forcément en équipe de France », a prédit le consultant de RMC, préoccupé par l’ambiance au sein du groupe tricolore.

Benzema et Valbuena « coupables »

« Je pense que Didier Deschamps doit être furieux de savoir que pendant les stages qu’il met en place, on parle cul et argent et qu’on règle des problèmes. Je pense que l’un et l’autre, et là je ne dis pas qu’ils sont coupables ou non, sont coupables d’avoir attenté à l’image de l’équipe de France, a-t-il accusé. C’est tout ce qui m’intéresse. Je ne suis ni juge, ni avocat, ni magistrat. Pour moi, l’histoire est terminée. Quand tu vois la chute vertigineuse de la cote de popularité de l’équipe de France, donc des partenaires, je pense que certains doivent être inquiets et à juste titre. Et ils doivent non seulement être inquiets, mais également en colère. Je ne savais pas que Clairefontaine était une succursale de Madame Claude (femme à la tête d’un vaste réseau de prostitution dans les années 1960-70, ndlr). »